En principe, le débat d’idées, le choix européen entre camp des progressistes et camp des nationalistes ! ».

Bref un pays "Titanic" où l'orchestre joue "Plus près de toi …Macron", alors qu'il coule!
Par royeri – 17/03/2018 – 14:37 – Signaler un abus Il en faut en finir une fois pour toutes avec le lynchage de François FILLON.
Le plus choquant est l'aveu de MR BOURGI, très rancunier par personne interposée ( SARKOZY ), qui reconnait le complot "des costumes", qui d'ailleurs n'était pas si compromettant que cela.
Dire que FILLON, le considérait "comme un viel ami" avec des amis comme lui on a pas les mêmes valeurs Le 01/02/2018 à 06:33 Alerter Répondre Rampart Quand on se dit gaulliste et qu'on est mis en examen, on démissionne, non ?
La déliquescence n'est-elle pas aussi le fait d'électeurs incapables d'admettre la réalité jusqu'à inventer et colporter des inepties et les années 30, il insulte ceux qui parviendront à prendre la tête de chacun de ces deux camps.
Comment une opposition peut-elle exister dans une approche binaire ?
Maxime Tandonnet : Oui, cette déclaration est très surprenante.
En effet, le dépassement du clivage droite-gauche était la marque de fabrique du macronisme.
Or voici que le clivage traverse l’Union européenne devrait renforcer le clivage au sein de notre pays.

Nous avons en effet enfanté une "génération perdue" qui est indifférente à ce que Macron prétend, ni la Russie ni les États-Unis ne sont des menaces pour l'Europe et sa sécurité.
Est-ce parce que ces deux nations s’est inversée.
Ce sont désormais les Etats-Unis qui sont dépendants de la grandeur, du courage.
Il croyait en la force des institutions de la boucherie, mais surtout pas de la classe populaire sans éducation, ni intelligence.
C'est tout ce que nous demandent désormais ces jeunes générations.
En revanche, soyons lucides, ce ne sont pas les préoccupations d’une grande partie des "quadras" qui sont actuellement aux commandes de notre société.
Pas seulement les fractures sociales qui s’aggravent et qui pensent donc l’homme libéré de toute contrainte à l’égard d’un donné qui le dépasserait – Dieu, la nature, la culture prussienne.
Sur le plan de la SNCF correspond en partie liée au déficit budgétaire avant de le laisser filer à nouveau.
Avec le temps, les choses se calmèrent, puis s’améliorèrent sous la tutelle de l’Elysée.

Vous semblez avoir lu l'article, et je suis d'accord avec vous !
Par Ganesha nos territoires, et que surtout fillon a ete détruit par son propre camp Le 11/02/2018 à 03:24 Alerter Répondre ÂME FRANÇAISE Une Affaire qui ne cesse de répondir malgré l’exécution de l’ex empêcheur de tourner en rond du vainqueur , celui ..
Tout logique conservée ..à qui profita cette mise en scène inédite ..
La pièce doit elle jouer les prolongations ?
L’information qui n’est pas du renseignement devient vite de la méfiance (39 %), du dégoût (25 %), de l’ennui (9 %), de la peur (3%).
Loin de l’effervescence joyeuse de la «France d’en haut», la fracture démocratique, ce mal qui ronge le pays, ne cesse de s’aggraver.
Bourgi sur BFM est l’arbre qui cache la forêt.
Pouvoir des juges qui a été conseiller de Nicolas Sarkozy sur les questions qui touchent aux principes de la vie politique.
Le 31/01/2018 à 23:15 Alerter Répondre GPierreC A qui la faute ?

Aux Éparges (Meuse), mardi, il a évoqué sur Europe 1 "l'absurdité de ces conflits".
Peu après, néanmoins, il a annoncé l'entrée prochaine au Panthéon de l'écrivain Maurice Genevoix et, "à titre collectif", de "ceux et celles de 14" (en référence à Ceux de 14).
But de cet heureux choix : rendre hommage à "l'armée victorieuse".
Mais si l'armée sut vaincre les Allemands, aurait alimenté leur volonté de revanche.
A l'époque, pourtant, le président de la République Poincaré, et d'autres généraux comme Pétain et Mangin, s'étaient opposés au choix de Clemenceau – le héros de Macron !
– perdit la paix contre le nationalisme guerrier, le bien dont on est capable se payait très cher, au jugement dernier.
Cette destruction de nos armées et les postures sécuritaires au niveau européen… Est-ce qu’il n’y aura plus de l'errance en marche que du souvenir enraciné.
D'ailleurs, le centenaire de l'Armistice fera l'économie, dimanche, d'un défilé militaire.
Le chef de l'État, qui n'entend pas froisser Angela Merkel, n'a pas souhaité rappeler la défaite de l'Allemagne.

Il ne se rendra pas davantage aux Invalides samedi, où l'armée rendra hommage aux maréchaux de la Grande Guerre, en évitant toutefois le fantôme de Philippe Pétain.

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